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Feuilles de renseignements: Perspectives publiques sur la science
Ce rassemblement de conclusions montre une opinion publique sur les questions liées à la science et le rôle de la science dans la société canadienne. Les conclusions proviennent d'une enquête sur le centre de recherche de PEW effectuée sur 20 publics en Europe, l'Asie-Pacifique, la Russie, les États-Unis, le Canada et le Brésil d'octobre 2019 au 202020202012.
Les majorités de la plupart des 20 publics interrogés ont vu leurs traitements médicaux sur une lumière favorable à la veille de la pandémie mondiale. Les traitements médicaux ont souvent été observés plus favorablement que des réalisations dans d'autres domaines.
Au cours des 20 publics, une médiane de 59% disent que leurs traitements médicaux sont au moins supérieurs à la moyenne. Au Canada, la même part (59%) pense que les traitements médicaux de leur pays sont les meilleurs au monde ou au-dessus de la moyenne. Seulement 13% des Canadiens pensent que leurs traitements médicaux sont inférieurs à la moyenne.
Environ la moitié des Canadiens disent que l'éducation à la tige de l'université de leur pays est au moins supérieure à la moyenne (49%). Une part plus petite pense que leur enseignement de la tige primaire et secondaire est le meilleur au monde ou au-dessus de la moyenne (36%). À propos de quatre sur dix disent que les réalisations scientifiques du Canada sont au moins supérieures à la moyenne (42%) et une action similaire indiquait que les réalisations technologiques du Canada sont au moins supérieures à la moyenne (40%).
Les majorités de tous les publics conviennent que être un leader mondial de la réalisation scientifique est au moins quelque peu important, mais la part qui le considère comme très importante varie par le public. Une médiane de 20 ans de 51% place le plus haut niveau d'importance d'être un leader mondial de la science. Au Canada, 52% des personnes disent que être un leader mondial des réalisations scientifiques est très important.
Dans l'ensemble, il existe un large accord entre ces 20 publics que l'investissement gouvernemental dans la recherche scientifique en vaut la peine. Une médiane de 82% disent que les investissements gouvernementaux dans des recherches scientifiques visant à faire avancer les connaissances sont généralement utiles pour la société au fil du temps. Au Canada, 83% disent cela.
Les majorités de la plupart des publics voient le programme d'exploration spatiale de leur gouvernement comme une bonne chose pour la société. Au cours des 20 publics, une médiane de 72% disent que le programme d'exploration spatiale de leur gouvernement a été essentiellement une bonne chose pour la société. Au Canada, environ trois quarts (77%) disent que le programme d'exploration spatiale de l'Agence spatiale canadienne a été bon pour la société.
Une vue publique sur l'intelligence artificielle (AI) et utiliser des robots pour automatiser les emplois sont plus variés du public au public. Une médiane de 53% disent que le développement de l'AI ou des systèmes informatiques conçus pour imiter les comportements humains, a principalement été une bonne chose pour la société, tandis que 33% disent que c'était une mauvaise chose. L'enquête du Centre trouve également que les publics offrent des points de vue mitigés sur l'utilisation de robots pour automatiser des emplois. Au cours des 20 publics, une médiane de 48% a déclaré que cette automatisation avait principalement été une bonne chose, alors que 42% disent que cela a été une mauvaise chose.
Au Canada, l'opinion est divisée sur l'utilisation d'AI et de robots pour automatiser les emplois. Globalement, 46% disent que l'AI a été bonne pour la société, tandis que 43% ont déclaré que cela avait été mauvais. Et 47% disent que l'effet de l'automatisation du lieu de travail a été une bonne chose pour la société, contre 44% qui disent que cela a été une mauvaise chose.
Dans la plupart des publics interrogés, des points de vue sur la sécurité des fruits et des légumes cultivés avec des pesticides, des aliments et des boissons avec des conservateurs artificiels et des aliments génétiquement modifiés inclinent beaucoup plus négatif que positif. Environ la moitié des réflexions produisent cultivées avec des pesticides (médiane de 53%), les aliments réalisés avec des conservateurs artificiels (53%) ou des aliments génétiquement modifiés (48%) sont dangereux. Au Canada, 47% disent que les fruits et les légumes cultivés avec des pesticides sont dangereux, comparés à moins de 24% (24%) qui disent qu'ils sont en sécurité; 27% disent qu'ils ne savent pas assez de cette question à dire. Les plus grandes actions disent également que la nourriture et les boissons avec des conservateurs artificiels et des aliments génétiquement modifiés sont dangereux que de sécurité.
En ce qui concerne les vaccins d'enfance tels que le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (MMR), une médiane de 61% indique que les avantages préventifs en matière de santé de tels vaccins sont élevés et une médiane de 55% pensent qu'il n'y a pas ou seulement un risque faible. des effets secondaires. Le Canada est parmi les publics d'enquête les plus susceptibles d'évaluer les avantages de la santé préventive aussi élevés et de générer le risque d'effets secondaires à la hausse. Les trois quarts des adultes canadiens disent que les avantages préventifs sur la santé du vaccin anti-RR sont élevés; Environ sept sur dix (68%) évaluent le risque d'effets secondaires du vaccin contre le MMR comme bas ou aucun.
Les majorités des 20 publics d'enquête donnent la priorité à la protection de l'environnement, même si cela cause une croissance économique plus lente. Une médiane de 71% hiérarchiserait la protection de l'environnement. Au Canada, une part similaire (69%) pense que la protection de l'environnement devrait être prioritaire, même si elle cause une croissance économique plus lente et une perte d'emplois. Une part beaucoup plus petite (25%) pense que la création d'emplois devrait être la priorité absolue, même si l'environnement souffre dans une certaine mesure.
Les préoccupations du public sur le changement climatique mondial ont augmenté ces dernières années dans de nombreux publics interrogés par le Centre.
Les majorités de tous les 20 publics disent qu'ils voient au moins quelques effets du changement climatique où ils vivent. Une médiane de 70% disait qu'ils ressentent beaucoup ou quelques effets du changement climatique où ils vivent. Au Canada, 64% disent que le changement climatique affecte où ils vivent beaucoup (22%) ou d'une partie (42%).
Une médiane de 20% de 58% a déclaré que leur gouvernement national fait trop peu pour réduire les effets du changement climatique. Une majorité d'adultes au Canada affirment que leur gouvernement fait trop (60%) pour réduire les effets du changement climatique, tandis que 22% disent que le gouvernement fait sur le bon montant et 14% disent que cela fait trop.
Toutes les enquêtes ont été menées avec des échantillons représentatifs nationaux d'adultes âgés de 18 ans et plus. Voici la méthodologie d'enquête utilisée dans chaque public.
À propos du Centre de recherche sur Pew Centre de recherche sur Pew est un réservoir de fait non étagère qui informe le public sur les problèmes, les attitudes et les tendances qui façonnent le monde. Il mène des sondages d'opinion, des recherches démographiques, une analyse de contenu des médias et une autre recherche sur la science sociale empirique. Le Centre de recherche sur Pew ne prend pas de postes de politique. C'est une filiale des fiducies de charité de pew.
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