Le numérique peut être vecteur de progrès et d’émancipation pour un grand nombre de personnes.
Le numérique transforme, bouscule, rompt les hiérarchies, remet en cause les organisations et interroge les territoires.
Le numérique peut aussi faciliter les échanges entre les individus et les cultures, favoriser l’accès aux droits, améliorer l’appropriation de savoirs, moderniser les liens entre citoyens et institutions, contribuer au retour à l’emploi, faciliter le travail à distance…
Encore faut-il qu’il soit accessible à tous, utilisable et appropriable par tous.
Le numérique transforme, bouscule, rompt les hiérarchies, remet en cause les organisations et interroge les territoires.
Le numérique peut aussi faciliter les échanges entre les individus et les cultures, favoriser l’accès aux droits, améliorer l’appropriation de savoirs, moderniser les liens entre citoyens et institutions, contribuer au retour à l’emploi, faciliter le travail à distance…
Encore faut-il qu’il soit accessible à tous, utilisable et appropriable par tous.
Lors du premier confinement, en mars, le Secours Populaire a relevé deux tendances nouvelles et fortes : « De plus en plus de gens venaient chercher des produits alimentaires, c’est pourquoi nous avons lancé les Marchés Pop, en lien avec des producteurs locaux. Et la fracture numérique devenait de plus en plus importante dans certaines familles et chez les étudiants », témoigne Nicole Rouvet, présidente de Secours Populaire 63 et secrétaire nationale. Dans un premier temps, l’association a donc équipé 50 étudiants qui ne possédaient pas de matériel informatique pour pouvoir travailler à distance.
Elle poursuit aujourd’hui cette démarche en s’engageant à distribuer 350 ordinateurs dans des familles dont les enfants sont scolarisés, tout en leur proposant un accompagnement à l’usage pour l’accès à leurs droits (démarches administratives, logement, emploi, scolarité…). Pour cette action inédite, la Métropole a accordé subvention au Secours populaire. En partenariat avec la société Hewlett-Packard, il s’agira de soutenir 100 familles en situation de précarité en leur proposant d’acquérir un ordinateur avec une contribution de seulement 50 €. Le Secours Populaire participera à hauteur de 50 € par famille et la Métropole, à hauteur de 150 €, soit 15 000 € au total. La même action de lutte contre la fracture numérique est menée par le CCAS de Cournon-d’Auvergne à qui la Métropole a accordé une subvention de 10 000 € (auxquels s’ajoutent 10 000 € de l’État).
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Source: Clermontmetropole.eu