Pourquoi parler de ça


Qu'est-ce qu'on a voulu dire ?


Nos premières réflexions ont porté sur les conflits dans les groupes qui peuvent freiner l'engagement de nouvelles personnes, ou faire fuir des participant.es.

Certaines personnes ne veulent pas s'engager dans des collectifs, car elles craignent de se trouver dans des situations désagréables, de conflit.

Mais le conflit peut aussi être positif : source de débat, de confrontation d'idée, d'enrichissement collectif et personnel.


à condition que ce conflit ne soit pas dans l'affrontement mais puisse être détourner pour en retirer une force : comme l'aïkido .

Il est possible, pour une même situation, de voir un conflit dégénérer : chacun.e reste sur sa position, sans chercher à connaître la position de l'autre, ou bien parce que sa position découle d'enjeux non dits : c'est Monsieur Viande et Madame Beurre qui souhaitent juste leurs morceaux de vache.

Mais sur cette même situation, il est possible de s'ouvrir au dialogue, découvrir pourquoi la position de l'autre est importante pour lui ou elle, et essayer de trouver une solution qui convienne à chaque partie : c'est le compromis trouvé pour que l'un et l'autre y trouve son compte.

Et pour résoudre des conflits inextricables (la baston entre Monsieur Vache et Madame Beurre), une intervention tierce peut être très utile, afin que chacun.e se pose : merci Madame Concorde !