L'éco coco lieu dans 5 ans ;)


chacun peut écrire son paragraphe s'il le souhaite ici. Vous pouvez renseigner votre nom en haut a droite de la page et choisir une couleur. Tous les rêves les plus fous sont possibles. Assurons-nous aussi de l'accueil bienveillant de toutes les idées. Il est important que chacun puisse s'exprimer sincèrement, et que nous trouvions nos points communs et les sujet qui demandent approfondissement et discussions

Idées de thèmes a aborder dans votre scénario :
- Quel taille a le lieu ? Combien de personnes dans le projet ?
- Quel lieu ? et Où?
- Habitation : quelle sorte d'habitat je souhaite ? Comment est-ce que j'imagine l'habitation en général (cohabitation, pièces communes, maisons individuelles etc.)
- Est-ce juste un lieu d'habitation ou un "lieu de vie, d'accueil" ?
- Autonomie? énergétique, alimentaire?
- Qu'est-ce qui relie les gens qui vivent là? Que cherchent-ils, pourquoi sont-ils là?
- Comment s'organisent les relations dans le groupe ?
- Y a-t-il des règles dans ce lieu?
- Qu'est-ce qui est partagé ou non ?
- Où est-ce que je travaille ?
- Est-ce un projet militant ? comment se situer par rapport a la société ?
- Quel pourcentage de temps vais-je investir dans l'éco-lieu ?




Fanny

  • Coucou, j'ai préparé un petit dessin que je vous partagerai weekend prochain ;-) en attendant voici mes réponses.

1) J'imagine un lieu vaste, pouvant accueillir plusieurs familles et qui nous permet de vivre dans la nature. Egalement assez grand pour laisser à nos idées ainsi qu'à la nature, la place de s'exprimer. Je crois que je préfererais un groupe noyau pas trop trop grand, mais toujours prêt à accueillir les autres. J'aimerais participer à la conservation de la nature, trouver un équilibre entre humains et autres êtres vivants (en gros délimiter des parties où nous laisserions la vie sauvage prendre le dessus et des parties d'habitation etc..)

2) Un lieu proche de ma famille et du travail de Thomas, à Riespach. Un endroit où il y aurait de la forêt, si possible des sources, de l'eau, beaucoup de nature. (pourquoi pas vers le coin de Ferrette).

3) Dans l'envie profonde de respecter la nature, j'imagine des habitats légers, dissimulés dans la forêt ;-). Mais chacun devra tenter de faire au mieux en fonction de ses besoins propres. J'aimerais conserver mon petit coin d'intimité, j'imagine alors vivre dans une maison individuelle (bon avec Thomas quand même ;-), une maison pas trop grande, juste adaptée à nos besoins. Je verrais bien une salle commune permettant les réunions, mais aussi recueillant le matériel partagé, éventuellement machine à laver, frigo, congélateur, etc. etc. (ouiiii des maisons supers calmes, sans aucun bruit pour nous déranger ;-) Cette salle pourrait aussi nous permettre de festoyer quand nous voudrons inviter beaucoup de monde qui ne rentrerait pas forcément dans nos maisons individuelles. Je verrais bien également des lieux de détente, une maison des livres communes où nous pourrions échanger. En gros, à part nos maisons, tout serait en commun.

5) Dans cet idéal, nous serions autonomes en eau, électricité et en alimentation végétale. Egalement, nous aurions aquis une connaissance nous permettant de soigner la plupart des petites maladies et donc, nous serions en partie autonome au niveau "santé". Après, je vois très bien des échanges de produits, des achats chez des producteurs du coin, ayant des valeurs communes aux notres. Le coeur sera l'éco-lieu, mais la philosophie pourra s'étendre et rejoindre ceux qui l'ont déjà, même s'ils n'habitent pas avec nous.


6) Ce sont des valeurs communes, de sobriété, de respect des autres êtres vivants, d'entraide qui relient les personnes du lieu. Ils cherchent à essayer un nouveau mode de vie, plus simple mais plus enrichissant, où ils peuvent renouer avec leur nature propre, leur intérieur, leur rythme, où ils ont le temps d'apprendre à se connaître réellement. Ils cherchent des échanges humains forts qui permettent de les nourrir et les faire évoluer. Ils cherchent le bonheur, l'épanouissement, la sérennité. Ils veulent vivre tout simplement.


8) Oui je pense que des règles de vie sont primordiales dans une vie collective. Ces règles seront en accord avec les valeurs du groupe, recueillies dans une charte et chacun devra tenter de s'accorder à elles. Par exemple, si nous décidons de respecter la nature, je pense qu'il est important que tous nos actes soient réfléchis dans ce sens (construction, déchets etc.). Bien sûr, tout ne pourra pas être parfait, mais "tendre" vers cet idéal en réfléchissant ensemble, en cherchant d'autres alternatives et en s'entraidant me paraît tout à fait possible.

4-7-9) J'imagine un lieu solidaire, où les personnes se complètent. Les personnes travaillant sur le lieu permettent aux autres de pouvoir se nourrir etc., les personnes travaillant à l'extérieur permettent à ces personnes d'être rémunérées pour leur travail et permettent de subvenir aux besoins financiers du lieu. Dans un premier temps donc, un système solidaire. Mais je verrais très bien, que ce lieu ne soit pas juste un lieu d'habitation, mais qu'il se développe bien plus. Dans mon imaginaire, nous pourrions vendre nos légumes et fruits, des plantes séchées, nos propres produits maisons, créer une ferme et forêt pédagogique, louer notre salle commune ou un endroit idyllique que nous aurions aménagé pour accueillir des cours de yoga et autres, etc. Si nous avons suffisemment de place, le champs des possibles est énorme. Je pense qu'il serait important, que le lieu aboutisse à une économie indépendante, qui pourrait prendre en charge une grande partie des frais. Ainsi, les personnes qui travailleraient à l'extérieur et apporteraient le soutien financier, pourraient se sentir libres d'arrêter leur travail quand elles le souhaitent et ne pas porter le poids du groupe. Pour ma part, j'aimerais beaucoup travailler, majoritairement, au sein de l'éco-lieu tout en continuant à travailler en tant que musicienne.

10) Pour moi oui, c'est une manière de militer contre le système actuel en en créant un nouveau, où nous retrouvons une certaine indépendance et des valeurs qui nous conviennent. Mais je ne souhaite pas me couper de la société mais plutôt l'aider à évoluer en proposant / recherchant autre chose.

11) Pratiquement tout mon temps (j'aimerais juste faire encore un peu de musique et enseigner ;-)

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Thomas

Ma vision est étonnement identique a celle de Fanny ;-) , je rajouterais que pour ma part à 5 ans je travaillerais encore en-dehors du lieu, la distance de mon lieu de travail ne dépasserait pas les 30min si possible mais je peut faire des éffort pour un lieu idyllique.
Mon temps dédier au tache en commun serait éssentiellement mes weekend, certaines soirées et mes vacances le temps que la transition dans mon travail se face et que je puisse me libèré du temps si précieux.
Une valeur qui m'est particulièrement préciseuse est le respect des liberté individuel ce qui prend évidement en compte le respect des différences d'opinion, je ne crois pas en un monde ou tout le monde pense pareil mais je crois bien plus au compromis.


vision par emilie et marc


-en ce qui concerne le lieu nous l'imaginons plutôt grand, comportant au moins une forêt, et des points d'eau.
il se situerait dans l'idéal dans le haut Rhin, pas trop loin de nos familles, ni de notre travail actuel.
En ce qui concerne le nombre de personnes, nous l'imaginons pas trop important (30-40 max?)
- Pour l'habitation: Ayant une petite famille, nous pensons plutôt à des maisons individuelles, pour nous une maison en bois sur pilotis ancrée dans la nature, et autonome le plus possible en énergie.
Nous imaginons également des endroits et pièces communes pour les réunions, grands événements, ateliers, réserves ...
- Pour nous ce ne serait pas qu'un lieu d'habitation, à moyen terme nous souhaiterions intégrer une école type de la forêt, et pourquoi pas vendre nos productions
- Nous aimerions tendre au maximum vers une autonomie alimentaire et énergétique
- Ce qui relierait les gens de l'ecolieu se serait leurs valeurs communes, leur envie de vivre leur vie pleinement ; une vie en accord avec leurs convictions, en accord avec eux mêmes!
- En ce qui concerne l'organisation des relations, nous pensons à des réunions régulières , la communication au cœur de notre communauté, des règles à entretenir en s'appuyant sur une charte pour toujours être en adéquation avec nos valeurs.
- Pour ce qui est partagé ; notre production (légumes...) ainsi que l'argent gagné par le travail sur le lieu, création d'un pot commun, que les personnes travaillant à l'extérieur apportent un soutien financier au lieu ainsi qu'aux personnes qui y travaillent pleinement, en "maintenant une part pour soi"
- Marc: dans un premier temps je continuerais à travailler dans mon entreprise, mais mon objectif est de pouvoir diminuer de plus en plus pour m'investir dans le lieu par l'entretien du potager par exemple, par la confection d'outils...
- Émilie : je souhaiterais dans l'idéal m'investir au maximum dans l'ecolieu, potager, contribuer à créer nos productions, pourquoi pas me former à des médecines alternatives, d'apporter le "côté santé " dans l'ecolieu.
- Ce projet nous permettra d'être en accord avec notre vision de la vie qui n'est pas toujours conforme aux grands principes de la société actuelle.
Nous ne souhaitons pas non plus nous en couper totalement, mais plutôt montrer aux gens que des changements sont possibles, réalisables, qu'en s'y mettant tous tout est possible.

Philippe

J'imagine un petit village, une sorte de hameau avec entre 30 et 50 habitants. Et un peu comme le village d'Asterix et Obelix qui resiste encore et toujours aux romains, je vois un petit village qui résiste toujours et encore au capitalisme qui détruit.
Résister pour créer, dans un sens positif.
Fuir la productivité, la rentabilité, la croissance, la technologie qui contrôle, l'accumultaion d'argent, le consumérisme, la mondialisation. Fuir tout ce qui détuit le vivant et nous coupe d'une vie intense, riche, sensible, reliée.
Créer de l'espace, un lien paisible et beau entre humains et aussi avec le reste des vivants. Repenser a notre impact sur terre en tant qu'humain et prendre le temps d'impacter la terre positivement par notre présence joyeuse et notre attention a la vie. Retrouver le calme et la vie intérieure.
Dans ce village il y a des maison avec des familles, des maisons avec des personnes qui aiment avoir leur intimité, des maison avec des colocations en tout genre. Il y a aussi une grande maison pour se retrouver et discuter, décider, fêter, apprendre, et recevoir des personnes extérieures. Il y a aussi des maisons non habitées destinées a des activités (agriculture, menuiserie, école...). Les valeurs des habitants de ce village font que les habitats soient construits de manière responsable, durable, avec des matériaux biosourcés et locaux. Certaines maisons sont autonomes en eau et en énergie, d'autres non. La grande maison est centrale, entourée des ateliers, et les habitats se répartissent librement autour. La zone habitée est accolée a une zone de culture où une grande partie de la nourriture nécéssaire est produite. Et autour de la forêt et des plans d'eau.
Le rapport a l'argent et au travail est repensé. Le travail n'est pas une activité qui est faite en donnant du temps contre de l'argent, mais une activité qui contribue a la communauté et qui permet en même temps a chaque personne de s'épanouir. Il y a ainsi des besoins en nourriture et en matières premières pour les habitants, et chacun donne de sa personne pour aider le mieux qu'il peut a subvenir à ces besoins et permettre au village d'exister. Certaines personnes ont un travail à l'extérieur du village qu'ils gardent car il aiment le faire et peuvent le faire sans se sentir en contradiction avec leurs valeurs. Les personnes qui travaillent et résident uniquement au Village bénificient d'un logement et de nourriture gratuite. Les personnes qui ne travaillent pas dans le village payent leur nourriture et un loyer. Cet argent va dans une caisse commune, et une partie est redistribuée aux habitants qui travaillent dans le village. La caisse est aussi complétée par la vente: sont vendus sur des marchés aux alentours le surplus de nourriture produite et des objets d'artisanat. Un accueil de personnes en formation et ateliers de vacances nature pour enfants extérieurs permet également d'avoir une rentrée d'argent pour le fonctionnement du village. Travailler au village c'est travailler au jardin et la production et la conservation de nourriture, construire des maisons, fabriquer des objet a vendre sur les marchés, accueillir du public pour des visites, formations et animations.
A la différence du village d'Astérix, il n'y a pas un seul chef dans ce hameau, mais un conseil réunissant tous ses habitants. Il se réunit dans la maison commune. Les habitants sont conscients des enjeux pour faire tenir un tel village et font de leur mieux pour qu'il vive. Ils élaborent ensemble les règles de vie et résolvent ensemble les problèmes. La confiance et le lien aux autres est cultivé par le travail dans la joie mais aussi par des temps de partage, de méditation et d'activités collectives.
Comme tout autre village il entretient des liens avec les villages alentours. A travers les marchés et les personnes qui travaillent a l'extérieur, mais aussi par l'accueil sur le lieu, les habitants sont en lien avec la population environnante.


Annette

15 septembre 2025:

Voilà une semaine que nous avons fêté les 10 ans d’Emile… quel grand garçon maintenant, qui évolue avec tant d’aisance au sein de tous ceux qui nous sont proches, buvant tous les savoirs-faire qu’il observe et y coopère gaiement. Quelle chance nous avons de pouvoir nous entraider de la sorte et de vivre une vie au sein d’une telle joyeuse fourmilière!
Marie du haut de ses 7 ans 1/2 n’est pas en reste, apporte sa touche de douceur, d’humour et de sensibilité dans tous les coins de notre maison, mais bien au delà dans tout ce à quoi elle participe.
Et « ?? » les suit fidèlement à droite à gauche, il/elle a bientôt 5 ans!

Les dernières années ont été très prenantes en chantiers autant au niveau des diverses constructions que dans l’aménagement, la prise de connaissance de l’extérieur. On sent tout doucement un apaisement, on ne se sent plus étrangers à tout ce et ceux qui nous entoure. Sans pour autant dire qu’on tombe dans le far niente, loin de là!! Particulièrement en ce début d’automne, les récoltes, conserves, et autres tâches ne manquent pas! Mais ça reste un réel plaisir de vaquer à ces tâches avec d’autres personnes, au rythme de nos conversations et éclats de rire.
Nous nous sentons bien, et si loin des actualités de la ville, dont nous nous sommes de plus en plus distancés. Ce n’est toujours pas très gai, les politiques ont énormément augmenté leur politique de contrôle et de privation de liberté ces dernières années - pour le moment, nous avons la chance d’avoir toujours pu continuer à être fidèles à nos convictions, parfois au prix de quelque magouille (vaccins..) ou gros investissement, tel la création de notre école « éclat de vie » où nous accueillons depuis deux ans 15 enfants (dont les 7 enfants qui vivent sur place) qui ont la chance de vivre au rythme des saisons et des activités qui se présentent de toutes façon dans le quotidien de notre petite « ruche ». Etant donné qu’ils sont un groupe d’âges très variés, c’est incroyable de voir leurs interactions et le nombre d’apprentissages qui se font sans que nous n’ayons à intervenir.. Bien sûr nous ne prenons pas cela à la légère et veillons à ce que les apprentissages dits « scolaires » ne soient pas en reste, mais la base affective et créative est tellement forte que je me dit que ces enfants seraient capables de déplacer des montagnes..!

Au niveau humain, cela a été un vrai cheminement aussi - il a fallu apprendre à se connaître et se rencontrer en vérité. Nous avons passé beaucoup de temps à discuter et apaiser les peurs et les tensions qui apparaissaient chez les uns et chez les autres. Chacun a évolué, cherché à trouver son équilibre personnel et sa juste place au sein du projet, ce qui n’a pas toujours été évident. Parfois ces interminables discussions me paraissaient une pure perte de temps - mais j’en suis reconnaissante aujourd’hui. Je crois que nous avons pu élaborer grâce à cela une base solide et pleine de confiance. Entre temps, nous avons établi un rythme de rencontre tous les jeudis soirs (sans faute!) pour rester dans un échange régulier et avoir une occasion pour déposer tout ce qui pourrait peser chez les uns ou les autres. Elle a lieu dans LA grande salle commune - où sont proposés aussi (mais non imposées) des séances communes de yoga, musique, chant, méditation…etc. Les repas de midi y sont aussi servis, et préparés à tour de rôle pour tous ceux qui sont sur place (ainsi que les enfants de l’école). Certains préfèrent déjeuner au calme chez eux, ce qui ne pose bien sûr pas de problème!!

Demain est notre grosse journée, où nous accueillons des personnes extérieures tant dans notre petite boutique que pour des visites des lieux au cours desquelles nous partageons notre expérience.
C’est aussi une des deux journées où Philippe part sur Bâle pour enseigner. Il est toujours encore autant motivé par son travail et cela lui permet d’avoir un bon équilibre entre le quotidien ici et les contacts avec ses collègues, ou avec ses élèves et étudiants. De mon côté, je suis comblée avec les activités ici et n’ai jamais repris le chemin de l’école depuis la naissance de (?). Aux côtés des enfants souvent, ou/et occupée à effectuer des cueillettes, conserves etc… j’utilise le reste de mon temps aux tâches ménagères de notre maisonnée et si le temps le permet à faire de la couture, ce que j’affectionne particulièrement, même si je me sens toujours encore débutante!

Notre maison est comme je la rêvait encore il y a 5 ans.. on a essayé de se limiter au minimum au niveau de la surface - mais qu’est-ce qu’il y fait bon!! Avec l’aide et le soutien de tous ceux qui ont acquis une connaissance poussée dans l’un ou l’autre domaine nous avons effectivement pu la construire avec quasiment que des ressources locales, pour un prix plutôt dérisoire mais beaucoup de travail!! Tout le domaine est relié au système de phytoépuration et nous avons un système pour pouvoir utiliser et consommer l’eau de pluie et celle de la rivière. C'est beau de se sentir autonomes et de pouvoir consommer sans crainte un air et une eau les plus purs possibles!

Dans la maison des « mamies », qui a été la dernière à être achevée, il y a un sacré turn-over, les parents des uns et des autres ont tous trouvé leur petit rythme et leur jour de visite hebdomadaire - elle n’est presque jamais vide. C’est un soutien précieux et apprécié de part et d’autres..

Les projets et idées futures ne manquent pas - deux familles aimeraient intégrer le collectif.. de nouveaux chantiers et partages en vue!!


Arthur


"
Je n'ai pas besoin de grand chose,
Si ce n'est mes Besoins Primordiaux,
Et celui d'animer mon âme et celles des autres.

Je ne vois pas ça Militant,
Parce que je pense que dans Cinq Ans,
Ce Lieu fera partie d'une Norme.

Des Sourires qui rempliront nos étangs en été,
Et des Soupes aux légumes pour réchaufer l'hiver.
De petits chemins décorés de Flore,
Guideront nos Instants.

Une grande Bâtisse où l'on peut se retrouver, discuter,
Se réunir, Cuisiner ou bien même danser.
Avec une grand Table en bois faite de nos Mains.
Cette Pièce sera sûrement accompagner d'une Scène,
Pour nous y créer des Instants qui nous cultivent.

Les Habitations,
De Chalet de Bambou au Bois de chez Nous,
Guirlande de Cabanes dans les Arbres,
Se cacheront dans nos bouts de Forêts.
Dans les Jardins,
Sûrement quelqu'un y dormira.

Pour ce qui s'agirai du Travail,
Je souhaiterai pouvoir le continuer,
À coté.
Mon Super-Pouvoir d'Employé Communal,
Je m'y suis trouvé baucoup de Sens,
Et je penses qu'en Cinq Ans,
J'en ai découvert des Nouveaux.
Et puis ça me prends Peu de Temps,
Pour beaucoup de Savoir-Faire.
Ce qui me permet d'en accorder à ce Lieu,
Qui m'apprend le Savoir-Vivre. "


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