Ceci est une version archivée de Session2 à 2022-11-23 21:58:43

L'Aventure, jour 2


Jour 1,

Alors que nous marchions vers le site de construction, je discutais avec Ruger Reuter et Reiko pour être certaine d'avoir bien saisi la situation. Trois familles d'Ubersriek se sont associées pour bâtir une manufacture mue par un moulin sur les rives du lac de Grausee , sur une terre que les autochtones évitent. Ruger Reuter et Johanna Stiegler représentent leur familles respectives et la troisième famille ne semble pas être représentée sur le chantier. Il faut dire qu'elle a quelques soucis, les agents de l'Empereur ayant constaté qu'il peut venir de mauvaises idées aux gens qui cumulent le pouvoir économique et un pouvoir législatif. Leur bien auraient été saisis et Herr Reuter s'inquiête du retard que prend leur participation financière. En tout cas, les associés espèrent que ce projet leur permettra de devenir encore plus riche, me rapelant que les humains partagent avec les nains cette passion pour l'or.

Nous sommes arrivés au campement à la tombée de la nuit. Le brouillard nous laissait entrevoir quelques roulottes Strygiennes, l'ébauche du chantier et une grande tente aux couleurs de la famille Reuter. Nous avons rencontré le responsable du chantier, un nain répondant un nom de ???. Il nous a fait un assez bon accueil et Herr Reuter lui a dit de me conduire à Mme Striegler pour qu'elle nous verse une prime, suite aux dérangements qui ont affecté la fin de notre trajet. L'octroie de cette prime n'a pas semblé être du goût de cette femme au caractère ombrageux et qui a visiblement un profond mépris pour son associé. Après s'être emportée, elle est devenue tout sourire pour m'assurer que, quoique Herr Reuter nous propose, elle nous paierai le double !

Quelle étrange façon de faire. Elle afirme pouvoir doubler une offre qui n'existe pas encore pour des taches dont nous ne savons rien... Voulait-elle me dire que c'atait elle qui dirigeait, et pas son associé ? Il est vrai qu'elle l'a traité d'imbécile... Mais pourquoi ces formulations alambiquées ? Tient-elle a entretenir une aura de mystère ? C'est un peu comme cet homme qui est sorti de sa roulotte et qui semblait vouloir se fondre dans les ombres. Il n'y a guère de façon plus visible de montrer qu'on ne veut pas être vu...

Jour 2,

Cette nuit, nous avons dormi sous une tente, à même le sol ! C'était affreusement incorfortable, et en même temps, tellement exitant !
Journal Ulyah