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a pattern language (lecture critique)
ce wiki réunit les contributions de l'Atelier de master Learning From pour une traduction critique du livre A Pattern Language. Atelier Learning From / ENSA Toulouse / France / 2020
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======63 Danser dans la rue====== {{grid}} {{col size="6"}} {{nav links="APL33, APL33C" titles="pattern, lecture critique"}} **Pourquoi les gens ne dansent-ils pas dans la rue aujourd’hui ?** Partout sur la terre, les gens ont dansé dans les rues; au théâtre, en chanson et avec la parole, « danser dans la rue » est une image de joie suprême. De nombreuses cultures ont encore une certaine version de cette activité. Il y a les danseurs Balinais qui entrent dans une transe, tourbillonnant dans la rue; les fanfares mariachi au Mexique - chaque ville a plusieurs lieux où les groupes jouent et le quartier sort pour danser ; il y a la tradition européenne et américaine des kiosques à musique et des jubilés dans le parc; il y a le festival du Bon Odori au Japon, où tout le monde applaudit et danse dans les rues. Mais dans ces parties du monde qui sont devenues «modernes» et techniquement sophistiquées, cette expérience est morte. Les communautés sont fragmentées; les gens sont mal à l’aise dans les rues, ils ont peur les uns des autres; peu de gens jouent la bonne musique; les gens sont embarrassés. Il n’y a certainement pas moyen qu’un changement dans l’environnement, aussi simple que celui que nous proposons, puisse remédier à ces circonstances. Mais nous détectons un changement d’humeur. L’embarras et l’aliénation sont des développements récents, bloquant un besoin plus fondamental. Et à mesure que nous entrons en contact avec ces besoins, des choses commencent à se produire. Les gens se souviennent comment danser; tout le monde prend un instrument; plusieurs centaines forment de petits groupes. A l’heure où nous écrivons, à San Francisco, Berkeley, et Oakland, il y a une controverse sur les «musiciens de rue» - des groupes qui ont spontanément commencé à jouer dans les rues et les places chaque fois que le temps est bon - où devraient-ils être autorisés à jouer, font-ils obstacle à la circulation, les gens devraient-ils danser ? C’est dans cette atmosphère que nous proposons ce pattern. Là où il y a un sentiment de l’importance de l’activité réémergente, alors un bon réglage peut l’actualiser et l’ancrer dans le sol. L’essentiel est simple : une plate-forme pour les musiciens, peut-être couverte ; une surface dure pour danser, tout autour du kiosque à musique; des endroits pour s’asseoir et se pencher pour ceux qui veulent regarder et se reposer; des endroits pour prendre un verre, un rafraîchissement (certains kiosques mexicains ont une belle façon de construire de minuscules étals dans la base du kiosque, de sorte que les gens sont attirés par les danseurs et jusqu’à la musique, pour aller boire une boisson fruitée ou une bière); tout cela se déroule quelque part où les gens se rassemblent. {{accordion}} {{panel title="<span class='glyphicon glyphicon-book'></span> 63 Dancing in the street " class="panel"}} ====== 63 Dancing in the street ====== //**Why is it that people don't dance in the streets today?** All over the earth, people once danced in the streets; in theater, song, and natural speech, "dancing in the street" is an image of supreme joy. Many cultures still have some version of this activity. There are the Balinese dancers who fall into a trance whirling around in the street; the mariachi bands in Mexico - every town has several squares where the bands play and the neighborhood comes out to dance; there is the European and American tradition of bandstands and jubilees in the park; there is the bon odori festival in Japan, when everybody claps and dances in the streets. But in those parts of the world that have become "modern" and technically sophisticated, this experience has died. Communities are fragmented; people are uncomfortable in the streets, afraid with one another; not many people play the right kind of music; people are embarrassed. Certainly there is no way in which a change in the environment, as simple as the one which we propose, can remedy these circumstances. But we detect a change in mood. The embarrassment and the alienation are recent developments, blocking a more basic need. And as we get in touch with these needs, things start to happen. People remember how to dance; everyone takes up an instrument; many hundreds form little bands. At this writing, in San Francisco, Berkeley, and Oakland there is a controversy over "street musicians" - bands that have spontaneously begun playing in streets and plazas whenever the weather is good - where should they be allowed to play, do they obstruct traffic, shall people dance? It is in this atmosphere that we propose the pattern. Where there is feeling for the importance of the activity re-emerging, then the right setting can actualize it and give it roots. The essentials are straightforward: a platform for the musicians, perhaps with a cover; hard surface for dancing, all around the bandstand; places to sit and lean for people who want to watch and rest; provision for some drink and refreshment (some Mexican bandstands have a beautiful way of building tiny stalls into the base of the bandstand, so that people are drawn though the dancers and up to the music, for a fruit drink or a beer); the whole thing set somewhere where people congregate.// {{end elem="panel"}} {{end elem="accordion"}} {{end elem="col"}} {{col size="6"}} {{end elem="col"}} {{end elem="grid"}}
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